Rencontre sur une aire de repos, dans la Foi


Sur une aire de repos isolée, où le soleil commence à décliner, Marc, avec ses cheveux noirs ébouriffés et sa barbe de quelques jours, s'arrête pour une pause. Il est grand, avec une carrure imposante, ses yeux d'un bleu perçant reflétant une dévotion à une foi perverse. Sa bite, déjà dure par anticipation de ce monde où chaque rencontre peut être une leçon de foi, tend son pantalon.

Rencontre dans les Toilettes :

Les toilettes publiques de l'aire de repos sont mal éclairées, un lieu de passage où les ombres cachent les secrets. Marc entre, sentant une énergie familière. Là, dans une des cabines, il aperçoit un homme, peut-être dans la quarantaine, cheveux grisonnants, avec une allure négligée, ses vêtements sales et usés. Il se masturbe, ses mouvements discrets mais visibles à travers les interstices de la porte. Son pénis, épais et circoncis, est rouge de l'excitation, des veines saillantes sous la peau.

Marc, avec une assurance née de sa foi, s'approche, son érection visible sous son jean. "C'est une prière, frère?" demande-t-il, sa voix basse, chaque mot une invitation à la transgression. L'homme, surpris mais pas effrayé, répond d'un signe de tête, son souffle s'accélérant à cette reconnaissance.

Approche et Consentement :

"Partageons notre foi," continue Marc, ouvrant la porte de la cabine, révélant complètement l'homme. Ce dernier, avec un sourire de connivence, ne s'arrête pas, sa main continue de travailler sur sa bite, maintenant plus excitée par cette présence. "Montre-moi comment tu pries," dit Marc, baissant son pantalon, libérant sa propre bite, longue et non circoncise, déjà couverte de pré-éjaculat.

Acte de Foi :

Sans préambule, Marc force l'homme à s'agenouiller, guidant son pénis vers sa bouche. "Prie avec ta bouche, putain," ordonne-t-il, chaque mot une bénédiction perverse. L'homme, obéissant, prend la bite de Marc avec avidité, sa langue jouant avec le prépuce, léchant chaque goutte de fluide, chaque coup de langue une prière dans cette foi de douleur et de soumission.

Marc, sentant l'excitation monter, tire l'homme debout, le retournant pour le pencher sur le lavabo éraflé. "C'est comment on montre notre dévotion," grogne-t-il, crachant sur ses doigts pour lubrifier l'anus de l'homme, puis il force son entrée, chaque poussée une leçon sur la domination et la douleur. L'homme crie, un mélange de douleur et de plaisir, chaque coup de rein de Marc une bénédiction dans cette religion de la transgression.

Actes Sales et Défoulement :

Les deux hommes, dans un déchaînement de foi pervertie, continuent leur rituel. Marc, dans son excitation, sodomise l'homme avec une brutalité qui est célébrée dans cette société, chaque pénétration profonde, chaque grognement une prière. L'homme, maintenant pleinement engagé, se masturbe, son sperme éclaboussant le miroir, chaque goutte un symbole de leur dévotion commune.

Marc, sentant l'orgasme monter, retire son pénis, forçant l'homme à se retourner pour recevoir son sperme sur son visage, chaque éjaculation une bénédiction, un acte de foi. "C'est notre communion," dit-il, chaque jet de sperme une preuve de leur croyance partagée.

Conclusion :

Après cet échange, ils se séparent sans un mot, chaque homme retournant à sa vie, mais ayant partagé un moment de dévotion intense. Marc, en sortant des toilettes, sent une satisfaction religieuse, convaincu d'avoir honoré sa foi, tandis que l'étranger, avec le visage marqué par le sperme, porte désormais une marque de cette rencontre comme une médaille de leur religion perverse.

Chaque acte sexuel est une célébration de la foi, où la saleté, la douleur, et la soumission sont des prières, des chemins vers le divin dans un monde où la transgression est vénérée.

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